Le papier est vecteur d’émotions, plus que le support digital

Le papier est vecteur d’émotions, plus que le support digital. En effet, selon une étude américaine dans le domaine des neurosciences, le contenu imprimé sur du papier, touche plus notre cerveau émotionnellement. Le contenu physiquement imprimé va permettre au cerveau de percevoir et décrypter plus facilement le message publicitaire.

Ce qui ressort de cette étude américaine :

  • Le lecteur sera plus attentif lorsqu’il sera face à une annonce digitale ;
  • Le lecteur prendre plus de temps de réflexion et sera plus engagé lors d’une annonce papier ;
  • Le lecteur aura une réaction émotionnelle plus forte pour le support papier ;
  • Le lecteur mémorisera davantage la source et le contenu d’un message papier.

Nous le savons, le digital est entré dans nos vies et dans nos métiers, il nous envahit. De plus en plus de personnes, passent la plupart de leur temps sur des appareils numériques et utilisent plusieurs application digitales. Mais alors… comment expliquer que le papier reste davantage un vecteur d’émotion par rapport au digital ? Bien que les médias concentrent leur budget et leur temps sur les nouvelles technologies liées au digital, le papier ne se démode pas, au contraire, c’est un “moyen” qui transmet de l’émotion et qui perdure dans le temps.

Papier et digital : faux ennemis

La montée de la digitalisation a pu faire peur à beaucoup de personnes, mais au fil du temps, nous pouvons comprendre que le numérique est devenu “le faux ennemi du papier”. En effet, le digital apporte de nouvelles opportunités à ce papier. Le papier est vecteur d’émotions et il ne va pas disparaître comme nous avons pu le penser. Aujourd’hui, les lectures online et offline se complètent et se croisent sans arrêt. « La technologie QRBOOK », par exemple, permet d’ajouter ou d’associer des contenus numériques et multimédias aux livres et éditions papier. Le papier restera donc un support qui a une grande valeur émotionnelle et qui doit s’adapter au virage digital que nous prenons, tout en continuant à tirer son épingle du jeu. En effet, les gens ne sont pas prêts à vivre dans un monde ou le « support papier » n’existerait plus mais bien dans un monde ou le numérique cohabite avec le physique.